Pour un urbanisme de l’enracinement

Beaucoup nous disent que notre ville est propice au travail, aux échanges et à l’éducation de leurs enfants. En apparence satisfaisante, cette affirmation cache pourtant mal le regret de trop d’Isséens de ne pas pouvoir y faire souche, ni de s’y enraciner. Cet enracinement que Simone Weil décrivait comme « le besoin le plus important et le…
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